Un petit mot à propos de nous

Le Laboratoire d'étude du couple s'intéresse au couple et aux facteurs individuels et relationnels qui ont des impacts sur le bien-être et le fonctionnement psychologique et conjugal, dans divers contextes de vie et d'adversité. Lire la suite

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Études sur le couple et l’infertilité

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Étude des couples au quotidien

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Pourquoi avons-nous réalisé cette étude ?

Une relation de couple saine et épanouie représente un objectif espéré par de nombreux adultes. L’attachement, le soutien conjugal et une sexualité positive sont reconnus comme des facteurs clé du bien-être conjugal et de l’engagement à long terme. Toutefois, peu d’études ont fait le pont entre le bien-être conjugal et sexuel chez les couples de longue durée et encore moins d’études ont exploré l’interaction entre l’attachement, le soutien conjugal et la sexualité afin de mieux comprendre comment favoriser la satisfaction conjugale à long terme.

Quel était le but de l’étude ?

Comprendre comment l’attachement amoureux, le soutien conjugal et la sexualité contribuent au bien-être des couples au quotidien et à la stabilité des relations de couple à plus long terme.

Qui pouvait participer ?

  • Les couples (18 ans et plus) en relation depuis au moins cinq ans.
  • Les partenaires doivent habiter ensemble depuis au moins six mois.
  • Les partenaires doivent avoir eu des activités sexuelles au moins une fois par semaine au cours des six derniers mois.
  • Les deux partenaires doivent participer à l’étude.
  • Les couples doivent avoir un accès quotidien à Internet et lire et comprendre le français ou l’anglais.

Le recrutement pour cette étude est maintenant terminé. Nous compilons actuellement les résultats. Merci à tous les participant.e.s!

Pourquoi avons-nous réalisé cette étude ?

Certains couples sont confrontés à des évènements de vie exceptionnellement difficiles et la capacité des conjoints à se soutenir mutuellement pendant ces épreuves est primordiale pour leur bien-être. Devoir faire face à la maladie de son enfant est sans contredit une situation difficile et nombreux sont les défis rencontrés par les familles touchées. À ce jour, toutefois, très peu d’études se sont penchées sur la réalité conjugale des parents confrontés au cancer de leur enfant. Nous souhaitons donc mieux comprendre la façon dont les conjoints gèrent ce type de situations et quels en sont les impacts sur leur bien-être individuel et conjugal.

Quel était le but de l’étude ?

Comprendre les facteurs individuels et conjugaux qui contribuent à l’adaptation et au bien-être des couples confrontés au cancer chez leur enfant, ainsi que l’impact de la maladie sur la vie conjugale.

Nos résultats de recherche...

Étude publiée dans Psycho-Oncology :

Le stress associé au cancer d’un enfant peut engendrer des conséquences négatives sur le couple et celles-ci peuvent perdurer dans le temps. Certaines caractéristiques chez les parents au moment du diagnostic peuvent toutefois contribuer à la détresse conjugale ressentie. Dans cette étude réalisée auprès de 47 couples dont l’enfant a été diagnostiqué d’une Leucémie, nous avons trouvé que des variables liées au bien-être et fonctionnement de la famille ainsi que l’humeur des parents au moment du diagnostic étaient associés à la satisfaction conjugale des mères et des pères 2 ans plus tard.

Pour en savoir plus : Burns, W., Péloquin, K., Sultan, S., Moghrabi, A., Marcoux, S., Krajinovic, M., Sinnett, D., Laverdière, C., & Robaey, P. (2017). A 2-year dyadic longitudinal study of mothers’ and fathers’ marital adjustment when caring for a child with cancer. Psycho-Oncology, 26, 1660-1666Burns, W., Péloquin, K., Sultan, S., Moghrabi, A., Marcoux, S., Krajinovic, M., Sinnett, D., Laverdière, C., & Robaey, P. (2017). A 2-year dyadic longitudinal study of mothers’ and fathers’ marital adjustment when caring for a child with cancer. Psycho-Oncology, 26, 1660-1666.

Étude publiée dans PLOS One :

Les effets de la maladie sur les parents peuvent perdurer même plusieurs années après les traitements de cancer. Dans cette étude rétrospective, nous avons cherché à décrire l’ajustement psychologique et conjugal des parents en moyenne 15 ans après le diagnostic. Nous avons trouvé que seule une minorité de parents vivent de la détresse psychologique (anxiété, dépression) et conjugale cliniquement significative plusieurs années post diagnostic. Les parents ont rapporté des impacts positifs (ex., meilleur soutien conjugal, augmentation de la satisfaction conjugale) et négatifs (ex., réduction de l’intimité, de la sexualité et du temps passé ensemble) de la maladie sur leur relation de couple. De plus, lorsque les mères ont perçu des effets positifs de la maladie sur leur relation de couple, les deux parents ont rapporté une meilleure satisfaction conjugale en moyenne 15 ans après le diagnostic.

Pour en savoir plus : Burns, W., Péloquin, K., Rondeau, E., Drouin, S., Bertout, L., Lacoste-Julien, A., Krajinovic, A., Laverdière, C., Sinnett, D., & Sultan, S. (2018). Cancer-related effects on relationships, long-term psychological status and relationship satisfaction in couples whose child was treated for leukemia: A PETALE study. Plos ONE. 13(9): e0203435.

Pourquoi réalisons-nous cette étude ?

Il est bien connu que les traitements de fertilité engendrent un stress important chez bien des couples. En ce sens, il est recommandé que des services psychologiques sous une forme ou une autre soient disponibles afin de préserver la qualité de vie des couples qui consultent en clinique de fertilité, de favoriser une expérience plus positive des traitements et de minimiser l’abandon prématuré et l’échec de ces traitements. Des études démontrent que les interventions de groupe ont un impact positif en contexte d’infertilité. Toutefois, la majorité de ces études se centrent exclusivement sur l’expérience de la femme, en laissant pour compte l’impact de ces interventions chez les hommes et la perspective conjugale dont il est capital de tenir compte en contexte d’infertilité.

Quel est le but de l’étude ?

Évaluer l’efficacité d’un groupe d’information et de soutien pour réduire le stress des individus/couples suivis en clinique de fertilité.

Qui peut participer ?

  • Les individus/couples hétérosexuels (18 ans ou plus) qui consultent en clinique de fertilité.
  • Les individus/couples ne doivent pas participer à une autre intervention psychologique pendant l’étude.

Qu’est-ce que la participation à l’étude implique ?

**Vous pouvez participer au Groupe d'information et de soutien ou au Groupe contrôle.

Groupe d’information et de soutien
  • Participer au groupe d’information et de soutien (voir la description du groupe pour plus d’information).
  • Compléter des questionnaires en ligne (plateforme web sécurisée) au début et à la fin du groupe (45-60 min par séance d’évaluation). Les questionnaires portent sur les réactions face aux difficultés à concevoir un enfant et les démarches entreprises à la clinique de fertilité.
Groupe contrôle

Il est aussi possible de participer à l’étude sans prendre part au groupe de soutien. Afin de déterminer si le groupe est utile pour aider les individus et les couples à mieux gérer le stress encourus pendant les traitements, nous devons aussi évaluer des personnes qui n’ont pas participé à l’intervention.

  • Deux séances d’évaluation (maintenant et dans 10 semaines).
  • Chaque séance (45 à 60 min par séance) implique de compléter un questionnaire en ligne (plateforme web sécurisée) portant sur les réactions face aux difficultés à concevoir un enfant et les démarches entreprises à la clinique de fertilité.